C'est tel un lent mais sûr poison
mathématique
auquel on prête un goût pour les
choses de l'Art,
qu'un indignant amour infiltrant mon
doux lard,
enseigna la formule à me rendre
hermétique.
Je boitais de ma rime bancale en pieds
bots
à ne vouloir alors que d'un monde
idéal,
où le marché de mes maux en vers mit
des halles
sur la place italique éditée pour
Rimbaud.
J'avais juste oublié qu'il n'y a de
piqure
qui ne soit incisive à ce point pour
Adam,
qu'il oublie ce qu'il est véritable en
dedans,
Et que la Tarentelle datant d'Épicure,
soigne un peu le venin des tristes
tarentules
et les mélancolies de lois qui
capitulent.
2 commentaires:
A lire sans modération tes écrits :-) toujours un agréable moment de découverte et de lecture pour moi. Merci une fois de plus pour ce partage qui pour toi est une pépite qui te vient du fond de ton être... Ce sont les abîmes, les recoins de l' intimité de ta psyché et toutes tes expériences de vie... Et ce sont aussi le drapé savamment tissé de savoirs que tu partages aux travers de chacuns de tes tracés d'encre qui ancrent le carnet de voyage d'un capitaine qui a bien roulé sa bosse :-) moult merci ! Gros bisous
Ce sont des petits tiroirs bien commodes que je propose mon amie, où chacun range ce qu'il veut y ranger. ;-)
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